Il semble que la Confédération africaine de football (CAF) cherche à retarder le processus et à gagner du temps en s’opposant à la demande de l’Algérie de traiter l’affaire en référé. La CAF semble préférer une approche qui lui permettrait de mieux préparer sa défense, ce qui pourrait impliquer le choix de trois juges pour examiner l’affaire. Cette stratégie pourrait potentiellement permettre à la CAF de récuser un ou plusieurs juges, obligeant ainsi le Tribunal arbitral du sport (TAS) à en désigner d’autres, prolongeant ainsi le processus.
Cependant, malgré cette tentative de la CAF de retarder les procédures, il semble que les arguments de défense avancés jusqu’à présent ne soient pas très solides et pourraient rapidement s’effondrer face aux arguments présentés par l’Algérie. Cela suggère que la CAF pourrait être consciente de la fragilité de sa position et préfère retarder la prise de décision plutôt que de risquer un jugement défavorable.
En fin de compte, le TAS devra constituer un collège de trois juges pour examiner l’affaire et prendre une décision. Il est probable que cette affaire continue de susciter l’attention de la communauté footballistique africaine dans les prochaines semaines jusqu’à ce qu’une décision finale soit rendue.