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Dossier/Akliouche – Ben Seghir (Maroc) : Le pacte rompu

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Akliouche 2revelation
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Coéquipiers à l’AS Monaco, Maghnes Akliouche et Eliesse Ben Seghir (Maroc) pouvaient aussi se retrouver à la CAN 2025. C’était, selon nos informations, le “pacte” fait entre les deux joueurs. Cela démontre qu’Akliouche avait concrètement pour idée de jouer un jour pour les Fennecs.

Le football est un milieu imprévisible. Un joueur peut se projeter avant de voir ses plans changer pour une raison ou une autre. Il faut dire que cette convocation de Didier Deschamps a brusquement détourné Akliouche de l’Algérie qu’il comptait – bel et bien – rejoindre à moyen terme lui qui « ne regarde même pas les matchs des Bleus et ne rate pas un match des Verts à la télé depuis tout petit » nous assurait son oncle rencontré à Alger.

Les retrouvailles impossibles à la CAN 2025

Au final, ni le désir de sa famille de le voir porter la tunique d’El-Khadra, ni sa complicité ou son “pacte” qu’il a passé avec Eliesse Ben Seghir, Lion de l’Atlas depuis mars 2024 pour sa part, n’ont pu peser face à la tentation prestigieuse et lucrative de rejoindre les vice-champions du monde.

Sur son choix, le Marocain avait indiqué, après son choix de rejoindre la troupe de Regragui, avoir « fait ce choix par rapport à mes racines, mes deux parents sont marocains. Le choix n’a pas été évident mais celui des racines l’a emporté. C’est un choix qui peut paraître audacieux à mon âge mais pourquoi attendre quand on sait ce que l’on veut. Je sais ce que je veux, j’ai fait ce choix et je l’assume. Rejoindre l’équipe du Maroc est une grande opportunité. Quand le sélectionneur t’appelle, c’est très difficile de refuser. »

Akliouche Ben Seghir

Deschamps a court-circuité le plan

Il n’en demeure pas moins que, Akliouche se projetait bien chez les Verts. Son euphorie était telle qu’il avait même challengé Ben Seghir pour de possibles retrouvailles à la CAN 2025 qui se tiendra au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026. Et si Deschamps a court-circuité cela, c’est parce que le sélectionneur français savait que, septembre passé conjugué à un possible transfert estival, Akliouche se rapprocherait sensiblement de l’Algérie. D’où cette promptitude à le mettre dans la liste de la trêve internationale à venir.

Par ailleurs, cette démarche vise à préserver sa valeur marchande comme recommandé par l’AS Monaco qui l’évalue à 70 millions d’euros. Et ça, c’est un autre sujet qu’on abordera dans la troisième partie de ce dossier avec des détails contractuels qui confirment la thèse.

Dossier Akliouche – Algérie : Aux origines de l’intérêt

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