Le sujet fait grand bruit dans l’entourage des Fennecs. Alors que Vladimir Petković tente de poser les bases de son projet avec l’équipe d’Algérie, plusieurs jeunes joueurs commencent à s’impatienter. Le manque de temps de jeu accordé à la nouvelle génération crée un sentiment d’injustice parmi les supporters, qui réclament un vent de fraîcheur. Mais face à cette polémique, Anis Hadj Moussa a tenu à rétablir certaines vérités.
Invité du magazine SoFoot, l’ailier du Feyenoord Rotterdam s’est confié sans détour sur la situation. Selon lui, l’Algérie vit bel et bien une transition positive : « Il y a un vrai renouveau dans cette équipe, et on le ressent clairement », a-t-il assuré, citant plusieurs de ses coéquipiers comme Ibrahim Maza, Amin Chiakha, Badredine Bouanani ou encore Farès Chaïbi. Une génération ambitieuse, désireuse de prouver sa valeur sur le terrain.
Pourtant, les critiques pleuvent sur Petković, accusé de s’accrocher à une hiérarchie figée. Hadj Moussa, lui, préfère adopter une posture de loyauté : « Même si on ne joue pas beaucoup, il n’y a aucune frustration. On a une vraie confiance du coach. »
Un discours qui traduit autant le respect du vestiaire que la prudence d’un jeune joueur conscient que son heure viendra. En attendant, la pression populaire monte : les supporters veulent voir la jeunesse algérienne exploser enfin sous le maillot vert.
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Trois talents, âgés de 21 ans ou moins, sont en lice pour le Trophée du Meilleur Espoir 2025.
