Comme nous l’avions mentionné sur cet espace, Adam Ounas ne prolongera pas l’aventure du côté d’Al Sadd SC (Qatar) après une pige qui a duré 8 mois pour 5 petites apparitions (1 but). Dans le dur, le gaucher voit se présenter une opportunité inespérée de rejouer au plus haut niveau. En effet, le Paris FC, fraîchement promu en Ligue 1 Mc Donald’s (France), voudrait le signer.
Une année après avoir quitté Lille OSC et le championnat français, Ounas pourrait y retourner par la porte de la capitale. Evidemment, ça ne sera pas pour jouer au Paris Saint-Germain (ça serait trop beau pour être vrai) mais au Paris FC qui vient d’accéder à l’élite et veut se renforcer pour pas cher. Et l’Algérien peut être la recrue idéale en termes de qualités (intrinsèques)/prix.
Ounas est face à l’ultime opportunité
Certes, Ounas n’a pas toujours su se montrer constant malgré un indéniable talent. Aujourd’hui, il se retrouve, à 28 ans, dans une impasse en sortant d’une saison très compliquée au Qatar. Là-bas, il a eu presque 8 mois sabbatiques après avoir débarqué désespérément à Al Sadd SC pour tenter de se maintenir compétitif. Et quand on sait que l’ancien pensionnaire de Naples SSC n’a pu faire que 5 petites apparitions (1 seule comme titulaire pour 164 petites minutes passées sur les pelouses), toutes en Ligue des Champions AFC car il état arrivé trop tard pour être inscrit dans les compétition nationales, on se demande quel niveau il affiche désormais.
A priori, le PFC veut tenter le pari de le signer. Et ça devrait être pour une saison renouvelable. Ainsi, Ounas se retrouve face à une sacrée opportunité de se relancer et prouver qu’il peut encore être le footballeur magique qu’un certain Djamel Belmadi a toujours admiré. Malheureusement, son manque de discipline et ses problèmes de poids l’ont empêché de voir sa courbe décoller véritablement. Après, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Surtout qu’Ounas a les capacités techniques pour se démarquer. Il l’avait prouvé par le passé. Notamment avec l’OGC Nice et le LOSC… même si c’était par intermittence.