L’équipe nationale disputera, imminemment, la 20e Coupe d’Afrique des nations (CAN) dans son histoire. Djamel Belmadi et ses protégés auront un stage préparatif qui commencera la dernière semaine de décembre. Au menu des Fennecs, il devrait y avoir deux matchs amicaux au minimum en guise de répétitions avant d’entamer l’aventure africaine le 15 janvier prochain face à l’Angola. Selon certaines informations, six sélections concernées par la compétition et aux profils divers souhaiteraient se mesurer à l’Algérie. L’entraîneur et son staff arrêteront le choix sur deux d’entre elles incessamment.
La Fédération algérienne de football (FAF) et Belmadi ficèlent les derniers détails pour la préparation de la messe continentale. Pour l’instant, le lieu du rassemblement pré-compétition n’a pas été communiqué tout comme les sparring-partners de Riyad Mahrez & cie.
Guinée équatoriale et Afrique du Sud privilégiées ?
Sur la carte, il y aurait le Ghana, le Mali, le Cameroun, la Guinée équatoriale, la Zambie et l’Afrique du Sud. Si l’on veut être un peu superstitieux, on souhaiterait éviter l’option ghanéenne qui n’a pas été porteuse de chance il y a deux ans. Pour rappel, les Verts avaient laminé les Ghanéens 3 buts à 0 à Doha (Qatar) pour l’unique répétition de la CAN-2021 avant de connaître une campagne désastreuse ponctuée par une sortie de route prématurée dès le premier tour.
Pour ce qui est des Maliens, on les a joués il y a un an (1-1) à au stade Miloud Hadefi d’Oran. Quant aux Camerounais, il serait intéressant de les jouer dans le cas où Belmadi voudra se mesurer à un nouveau cador après la Tunisie, le Sénégal et l’Egypte récemment. Cependant, en jetant un œil sur la poule “D” où évoluera l’Algérie, on retrouve le Burkina Faso, la Mauritanie et l’Angola. Si on transpose les profils, on pourrait penser qu’il serait judicieux d’affronter les équato-Guinéens (surtout si le regroupement des Verts se fera à Malabo) et les Sud-Africains. Le Nzalang National et les Bafana Bafana ont des similitudes avec les Angolais et les Burkinabés. Toutefois, le dernier mot reviendra à Belmadi et ses conseillers.