Mohamed Amine Amoura est sur les tablettes du Benfica Lisbonne qui voit en lui un renfort de qualité assorti d’un fort potentiel de revente. Les Portugais comptent bien mettre le paquet pour l’avoir. Mais le “move” requiert un petit effort dans le financement que le club espère assurer en vendant un autre joueur. Le sort de cette opération conditionne l’avancement dans le dossier de l’Algérien. Explications.
Les Benfiquistas prévoient un montant compris entre 30 et 35 millions d’euros pour convaincre le VfL Wolfsburg de céder le Dz. Mais, pour assurer cette liquidité, les Aigles doivent d’abord vendre un joueur, à savoir Kerem Aktürkoğlu qui devait revenir dans son pays en signant au Fenerbahçe SK.
Les Turcs peuvent plomber l’arrivée d’Amoura à Lisbonne
Mais ce transfert a vu la donne changer après que les Turcs ont obtenu leur billet pour la Ligue des Champions UEFA en évinçant le Feyenoord Rotterdam d’Anis Hadj Moussa lors du dernier tour préliminaire de la C1. En effet, avant d’assurer la participation à la prestigieuse épreuve, le Fener avait proposé 22,5 millions d’euros plus 2,5 en bonus éventuels. Cependant, le board du team d’Istanbul a revu sa proposition à la baisse en n’offrant que 15 millions plus 3 en bonus.
Cette attitude pourrait faire tomber cette opération à l’eau et avoir un impact direct sur l’arrivée d’Amoura à Lisbonne. Mais bon, lors de ces deux dernières semaines mercato, tout peut se passer. En tout cas, le Fennec a, selon les récentes déclarations de son coach Paul Simonis, un potentiel bon de sortie… si le chèque proposé par le Benfica correspond aux exigences du propriétaire du club. La firme Volkswagen, actionnaire majoritaire des Wölves, ne veut pas lâcher le lutin Dz pour un montrant inférieur à 35 millions d’euros.