Le flou est total. Mais une information se dégage. L’équipe nationale devrait, selon toute vraisemblance, affronter l’Angola en amical le 9 octobre prochain au Portugal. Après cela, il pourrait jouer le Cameroun 4 jours plus tard… au Pays-Bas. Sacré périple.
On croit savoir d’une source sure que l’EN a trouvé le premier sparring-partner officiel. Il s’agirait de l’Angola. Dans l’urgence de trouver un adversaire pour l’affronter en match de préparation, l’intermédiaire chargé de caler une rencontre se serait rabattu sur les Palancas Negras qui se sont montrés disposés à croiser le fer avec les Champions d’Afrique.
le risque de se contenter d’un test
Par ailleurs, la faisabilité de l’explication avec les Camerounais est discutable. Elle pourrait même tomber à l’eau compte tenu de la complicité organisationnelle et le laps de temps très court de la date FIFA d’octobre (5-13). Et ce, même si, le secrétaire général de Fédération camerounais de football (FECAFOOT), Benjamin Didier Banloc, a laissé croire que le duel se tiendra, bel et bien, en terres néerlandaises. « La date officielle n’est pas encore arrêtée. Pour le moment on sait que c’est aux Pays-Bas et l’accord de principe est déjà donné pour le match. Il reste des détails organisationnels à régler afin de finaliser », a-t-il indiqué, ce samedi matin, sur les ondes de Radio Algérie Internationale (RAI).
Reste désormais à savoir combien coûtera ce petit voyage. La Fédération algérienne de football (FAF) devra mettra un gros chèque pour pouvoir s’assurer de jouer les deux tests amicaux que Djamel Belmadi a réclamés. Ce denier est, selon nos informations, très remonté contre les responsables à la FAF. L’absence d’un Manager permanent, après le départ de Hakim Medane, expliquerait cette organisation pour le moins catastrophique. La centralisation des décisions pour laquelle le coach des Verts a optée semble préjudiciable sur ce coup.