Vladimir Petkovic, sélectionneur de l’Algérie prépare une petite révolution après les décevants matchs face au Botswana et à la Guinée de septembre. Au moins deux joueurs ne devraient pas être rappelés en octobre, alors que d’autres risquent de se retrouver sur le banc.
Vladimir Petkovic ne décolère pas. Déçu par certains cadres des Verts, le coach national promet déjà de sévir. Il faudra s’attendre alors à ce que des têtes tombent après les médiocres prestations de l’EN face au Botswana et à la Guinée dans le cadre des éliminatoires du Mondial 2026.
Selon des sources sûres, au moins deux joueurs ont déjà grillé leurs derniers jokers et ne devraient pas être rappelés le mois prochain à l’occasion des confrontations face à la Somalie et à l’Ouganda. Il s’agit de Saïd Benrahma et Ramiz Zerrouki qui auront, à eux deux, cristallisé les critiques du public en raison de leurs prestations tièdes face à la Guinée (0-0).
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Nos sources assurent que Petkovic a décidé de ne pas les rappeler. Une sorte aussi d’avertissement pour les autres cadres : rien n’est définitivement acquis. D’ailleurs, faute de pouvoir tout chambouler en raison du timing, le Bosniaque projette cependant de revoir son onze de départ, objet également de crispations de l’opinion publique. Des titulaires habituels risquent ainsi de se retrouver sur le banc de touche en octobre. Un préambule pour un changement en profondeur en prévision de la CAN, nous dit-on.
Par ce procédé, c’est le statut de certains “anciens”, à l’image du capitaine Riyad Mahrez, qui va donc changer dans une sorte de redistribution des cartes visant à redynamiser une équipe nationale amorphe et en manque criant de personnalité.
Ces premiers changements, qui en appelleront d’autres si besoin, sont un rappel que personne n’est éternel. Un coup de pied dans la fourmilière est plus que nécessaire si Petkovic ne veut pas se retrouver à commettre les mêmes erreurs que son prédécesseur.
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