Passé un temps par le NAHD en 2015, le temps de promouvoir un projet sportif qui n’a jamais vu le jour, Nicolas Anelka s’est remémoré son expérience chez les Sang et Or dans un live avec le journaliste de CNews Thibaud Vézirian.
L’ancien avant centre de l’Équipe de France ne se remémore de quelques mois au sein du NAHD (janvier à avril 2015) que son altercation avec le coach de l’époque, Meziane Ighil. “Le président m’avait demandé à l’époque d’aller parler aux joueurs, mais j’avais senti que le coach voyait cela d’un mauvais œil. Je lui avais dit que je ne voulais pas embêter le coach qui était froid avec moi, mais il a forcé en me disant qu’il avait parlé avec lui et qu’il était d’accord », raconte l’ancien Gunner.
“Une fois à l’entraînement, je voulais m’adresser aux gardiens de buts qui s’entraînaient à l’écart du groupe quand le coach est venu en courant pour me demander d’un ton sévère ce que je faisais sur le terrain. Il a mal parlé et je l’ai juste repoussé pour éviter la bagarre, parce qu’il a collé son front sur le mien. On ne s’est pas battus comme l’avait rapporté la presse à l’époque, et c’est justement ça que je voulais éviter, parce que quand il y a mon nom dans la presse dans ce genre d’embrouilles, c’est toujours moi le fautif”, se souvient-il.
Invité en Algérie par le président du NAHD, Mahfoud Ould Zmirli, après une rencontre à Dubaï, pour occuper une fonction de Directeur sportif ou consultant au sein du club formateur algérois, l’enfant terrible du football français n’a finalement pas fait long feu en Algérie après cette altercation qui avait fait les choux gras de la presse locale. Pour autant, Anelka garde un bon souvenir de l’Algérie, “J’ai kiffé mon séjour en Algérie, d’ailleurs je profite de l’occasion pour passer le bonjour à tout le club de Hussein Dey et à toute l’Algérie. Un beau pays qu’il faudra visiter. J’y ai rencontré de très bonnes personnes”, a-t-il conclu.