La Fédération algérienne de football (FAF) est clairement à la peine pour trouver un successeur fiable à Djamel Belmadi. N’ayant pas un réel embarras du choix, Walid Sadi et ses collaborateurs se retrouvent dangereusement dans l’embarras.
En effet, à l’heure actuelle, il n’y a pas vraiment de techniciens de première catégorie qui soient libres. La majorité des coachs ont des contrats qui courent. On peut notamment rappeler qu’Hervé Renard aurait pu être l’alternative logique… s’il n’était pas à la tête de l’équipe de France féminine qui jouera les Jeux Olympiques Paris-2024.
Question fatidique : Attendre ou trancher ?
Dans les circonstances actuelles, la FAF est face à deux options. La première sera de trancher dans le vif et engager un successeur permanent en signant un technicien presque par défaut. Quant à la second, elle consiste à mettre en place un intérimaire (il gèrera les matchs de mars et juin) jusqu’à l’été prochain pour élargir la marge de manœuvre.
Cependant, pour cette deuxième démarche, il n’y a pas beaucoup d’entraîneurs qui aimeraient jouer les pompiers au milieu d’un véritable brasier dans lequel les Verts se retrouvent depuis le ratage à la CAN-2023. Le nom de Nabil Neghiz a été évoqué comme recours potentiel. D’autres verraient bien Madjid Bougherra en mesure d’assurer l’intérim. Néanmoins, celui qui est à la tête d’Al-Markhiya SC (Qatar Stars League) serait concentré sur son club. Affaire à suivre