Un an, jour pour jour, après la victoire de l’EN en finale de la CAN-2019, Djamel Belmadi s’est remémoré les souvenirs de cette soirée à gravir sur une pierre blanche. Naturellement, le coach des Verts ne fait pas celui qui tire la couverture sur lui, même s’il est fier de l’exploit réalisé.
Ainsi, dans un entretien au média officiel de la FAF, Djamel Belmadi n’a pas caché sa satisfaction d’être « le premier, celui qui gagne. Je voulais être celui qui prend la coupe d’un pays pour la ramener chez lui », a avoué le sélectionneur national et d’enchaîner « ce sentiment est énorme. Ça, on ne peut plus te l’enlever. C’est écrit dans l’Histoire ».
Ayant dit et redit que son objectif était d’aller chercher cette CAN, Djamel Belmadi reconnaît que “l’EN n’est pas allée en Egypte comme le petit poucet ou l’équipe qui est sortie au premier tour en 2017. On est allé avec l’idée d’être valeureux, braves, ambitieux et d’y croire », a conclut le technicien algérien.
“Ces joueurs là, je les aime !”
Sur sa relation fusionnelle avec ses joueurs, incontestablement l’un des secrets de son succès, Djamel, comme l’appellent tout simplement ses hommes, avoue que c’est la base même de son métier. « Le rapport aux joueurs est pour moi l’essentiel dans ce métier. Ces joueurs-là, je les aime. Tout simplement », a t-il avoué. Une déclaration d’amour sincère et solennelle qui ne fera que renforcer plus les liens qui lient le sélectionneur à son groupe. Puise t-il durer indéfiniment !