Avant de décoller vers Marrakech (Maroc), où l’équipe nationale a atterri en début d’après-midi, Djamel Belmadi a répondu à quelques questions de la presse algérienne à l’aéroport Houari Boumédiène (Alger).
Au-delà de la chaleur, qui est conséquente selon les échos qu’il avait eus en provenance de Marrakech, l’autre paramètre que les Verts ne pourront pas contrôler sera la prestation de l’arbitre. Pour la rencontre, prévue demain soir (20h) dans le cadre de la 2e journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, face au Burkina Faso, c’est le referee botswanais, Joshua Bondo, qui a été désigné au sifflet.
« Il faut que tout le monde soit au niveau »
Interrogé sur l’arbitrage, le sélectionneur des Fennecs a assuré que malgré les craintes, il ne faut pas que cela devienne une psychose. « On espère qu’on ne fera pas face à des problèmes d’arbitrage. C’est un match d’éliminatoires de Coupe du Monde avec enjeu », a déclaré le coach de l’EN.
Et quand il parle de mauvais arbitrage, il a sous-entendu qu’il veut qu’il soit impartial et réglo pour les deux équipes : « Il ne faut pas qu’il y ait des erreurs d’arbitrages que ce soit d’un côté ou de l’autre parce que cela peut pénaliser l’équipe », précise l’ex-driver d’Al-Duhail SC (Qatar). Toutefois, Belmadi insiste sur le fait qu’ « on ne va pas trop penser à ça ni en faire une psychose. On n’est pas parano mais compte tenu de ce qui nous est arrivé lors des deus stages précédents. Il n’y a pas eu de conséquences graves. Mais là, l’enjeu et différent. C’est les qualifications en Coupe du Monde et il faut que tout le monde soit au niveau ». Clair, net et précis.