Alors que la majorité des internationaux sont en pleine préparation pour la saison à venir et la date FIFA de septembre, Youcef Belaïli n’a toujours pas trouvé de point de chute. Même si son nom est lié à différents courtisans, le milieu-offensif temporise dans l’espoir de décrocher un (dernier ?) gros contrat. Pour celui qui est (techniquement) sans club depuis mars dernier, c’est toujours les vacances.
Le Wydad Casablanca, Trabzonspor, l’ES Tunis, le Zamalek SC, le MC Alger, le CR Belouizdad et une touche aux Emirats arabes unis, les équipes intéressées semblent nombreuses. En effet, les négociations sont lancées sur plusieurs fronts sans aboutir pour l’instant. Cela vient conforter le constat sur la carrière de l’ancien sociétaire de l’AC Ajaccio qui est instable. Conséquence : cela a fini par se répercuter sur sa présence en sélection.
De soutien indéfectible, Belmadi ne serait pas content
En juin dernier, le natif d’Oran n’a pas été retenu pour les rencontres contre l’Ouganda et la Tunisie. Interrogé sur cette absence, le sélectionneur Djamel Belmadi a assuré qu’« on n’arrivera pas à mettre un flou entre lui et moi. Il est sans club. Le jour où il retrouvera un club, où il sera de nouveau compétitif, il sera de nouveau sélectionnable. Point barre ».
Pour l’instant, le seul flou qui existe, c’est Belaïli qui le crée. Et ce en mettant beaucoup trop de temps à rebondir. Le plus tôt il aurait repris, le mieux il serait sur le plan physique à la prochaine fenêtre internationale sachant qu’il est à l’arrêt depuis 5 mois. Le fait de vouloir décrocher un contrat juteux pour payer le contentieux de 500.000 euros qu’il n’a pas totalement réglé à Al-Ahli Saudi SC expliquerait aussi ce tâtonnement. Le temps presse.
🇩🇿| Belaïli 🤜🏼🤛🏼 Bounedjah ⚽️
« 𝐖𝐀𝐇𝐑𝐀𝐍’𝐒 𝐂𝐎𝐍𝐍𝐄𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 »#Oran #Wahran #Algeria #Football pic.twitter.com/pyWw9h9l0D
— 𝐖𝐀𝐇𝐑𝐀𝐍 🇩🇿🇵🇸 (@DiscoverGharbDz) June 4, 2021
