L’arbitrage de Joshua Bondo lors de Burkina Faso – Algérie (1-1), disputé le 07 septembre dernier au Grand stade de Marrakech (Maroc), avait agacé plus d’un. Notamment Djamel Belmadi. Le sélectionneur de l’équipe nationale était même parti toucher deux mots au referee botswanais à la pause. Ce dernier s’est voulu « ferme » avec le coach des Verts.
« Occupez-vous plutôt de votre équipe qui ne joue pas très bien et laissez-moi faire mon travail. OK ?» C’est avec ces mots cinglants que le Botswanais Joshua Bondo avait rétorqué à Djamel Belmadi. Le premier responsable de la barre technique des Fennecs n’a pas trop apprécié les décisions prises par le juge du match en première période. Et il a tenu à le lui faire savoir à la pause dans l’espoir qu’il soit plus « juste » dans ses coups de sifflets.
Genèse du rapport envoyé par la FAF à la CAF
Lors de cette sortie comptant pour la 2ème journée des éliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022, El-Khadra a semblé mal en point sur le plan tactique. Et cela n’a pas échappé à l’homme en noir qui a demandé à Belmadi de se contenter de réorganiser ses troupes au lieu de s’apitoyer sur sa façon d’arbitrer. La réaction du Botswanais cache, peut-être, une préméditation d’achever l’EN dans les moments où elle est “vulnérable”.
D’ailleurs, il s’est abstenu d’accorder un penalty largement « sifflable » pour Riyad Mahrez dans les derniers instants de la partie. Après cela, la Fédération algérienne de football (FAF), sur demande du driver des Verts, a rédigé un rapport accablant sur la prestation de Bondo qu’elle a envoyé à la Confédération africaine de football (CAF). Toutefois, selon nos sources, cette plainte a peu de chances d’aboutir étant donné que l'”accusé” a mal-arbitré pour les deux côtés.
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