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FAF: Quand Maouche contraint Amara à rester…

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amara avec mohamed maouche reunion

Jeudi dernier, Charaf-Eddine Amara annonçait sa démission de la FAF ainsi que celle de toute l’équipe fédérale. Seulement, les membres de son bureau n’ont pas suivi. Un remplacement s’opérerait avec certains qui ont voulu profiter de la “vulnérabilité” de l’illustre Mohamed Maouche, premier vice-président de l’instance, qui devait prendre le relais. Un plan qu’Amara a voulu faire avorter en renonçant à partir.

Âgé de 86 ans, Mohamed Maouche devait, comme le stipule la réglementation, prendre le relais. Mais cet avènement présentait des risques avérés quand on sait que cet figure emblématique du football et de l’histoire en Algérie n’a plus vraiment toutes les facultés pour mener à bien sa mission. Surtout quand ont sait par qui il aurait été entouré dans ce cas de figure.

Insurrection et risque de manipulation

C’est pour cela que les premiers indicateurs d’insurrection sont venus changer la donner. Un coup de fil et Amara débarquait dimanche matin pour annoncer qu’il n’allait pas bouger de son poste si les Bahloul, Aïssaoui et Benhamza n’annoncent pas leur départ eux aussi. En effet, ce trio comptait profiter de cette transition pour opérer des changements importants et préparer le terrain afin d’occuper des postes clefs dans un avenir proche.

Cela était possible dans la mesure où Maouche pouvait ne pas pouvoir les empêcher de mener à bout leur plan. Clairement, le fait que le successeur de Kheireddine Zetchi se voit contraint de rester pour gérer lui-même les affaires courantes jusqu’à l’arrivée d’un nouveau président est aussi lié à ce détail.

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