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Info LGDF : sabotage et grosse menace sur la pelouse de Tchaker !

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tchaker pelouse stade engrais octobre 2021

Alors que l’opération de semence opérée par la société Natural Grass poursuit normalement son cours et devrait aboutir à une pelouse fin prête pour la mi-novembre, une tierce personne tente malhonnêtement de s’ingérer dans l’affaire de la pelouse du stade Tchaker de Blida. Une magouille se trame dans les coulisses de la FAF.

La Fédération algérienne de football est tout près de provoquer un énième scandale autour de la pelouse du stade Mustapha-Tchaker de Blida. Alors que l’opération de semence opérée par Natural Grass, en collaboration avec les jardiniers de la FAF, poursuit normalement son cours et devrait aboutir, dans quelques jours, à une pelouse impeccable en prévision de la réception du Burkina-Faso, le 16 novembre, un « technicien » portugais, engagé personnellement par Charaf-Eddine Amara tente de retourner le terrain et « ressemer » le gazon.

Tchaker et la main étrangère

Le terrain du stade Mustapha-Tchaker continue ainsi à provoquer du remous à la FAF. Alors que cette dernière a hérité de sa gestion, récemment, une interférence dans le processus d’entretien est en train de provoquer un véritable scandale en interne. En effet, alors que Natural Grass, société algéro-française chargée par la wilaya de Blida, et agrémenté par la FAF, a entamé un travail de fond depuis dix jours, en implantant par exemple des semences de hautes qualités qualifiées dans le jargon de “double zéro professionnelles”, du même genre utilisé dans les grands stades d’Europe, et des engrais émanant directement de leurs propres stocks, un technicien portugais engagé par Charaf-Eddine Amara sur conseil d’une tierce personne étrangère à la FAF, a tenté ce samedi de faire intervenir des engins pour retourner la terre et la semer à nouveau avec des graines “grand public” (comprendre par là, celles utilisées pour les pelouses des jardins publics).

Un travail de sape qui risque tout simplement d’abimer les 250 kilos de semences “double zéro professionnelles” qui sont en train de germer avec toutes les pertes financières que cela engendrera.

Mais qui veut imposer “l’expert” portugais ?

L’attitude de Charaf-Eddine Amara, qui n’est pas faut-il le dire à sa première initiative solitaire, ne plait guère en interne. Ses plus proches collaborateurs n’admettent pas qu’il décide de faire appel à un technicien portugais qualifié “d’expert” pour intervenir sur une pelouse déjà semée il y a dix jours et en phase de germer. Car cette interférence n’est ni plus ni moins un travail de sape dans la mesure où cela voudrait dire qu’il faudra refaire tout un travail de fond -jusqu’à preuve du contraire bien fait comme en atteste les photos- et ainsi courir le risque de ne pas réceptionner le terrain dans les temps, sachant que l’équipe nationale devra s’y produire dans moins d’un mois.

Là où le bât blesse, c’est que Amara, sous forte influence, aurait dû dès le départ faire confiance au Portugais dont on lui a loué la main verte, mais pourquoi avoir appelé alors Natural Grass dont la société mère vient de refaire le terrain du Santiago Bernabeu, et qui est venue faire le travail à titre gracieux, pour ensuite lui brûler la politesse à mi-chemin. Natural Grass qui a décroché le certificat FIFA 5 étoiles pour la pelouse du Stade Olympique d’Oran risque ainsi de se faire couper l’herbe sous les pieds pour des considérations mercantiles avec en ligne de mire la gestion juteuse de Sidi Moussa qui bénéficie de financement de la FIFA. Nous y reviendrons…

>> La pelouse du stade Tchaker ce samedi 23 octobre :

 

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